Baron Jaouioz

- Introduction (extraits)
-
Chants mythologiques, héroïques, historiques et ballades
- Diougan Gwenc’hlan
- Aotroù Nann hag ar Gorrigan
- ar Bugel lec’hiet
- ar C’horred
- Liñvadenn Gêr-Is
- Gwin ar C’hallaoued
- Bale Arzhur
- Bosenn Elliant
- Merzhin en e gavell
- Merzhin divinour
- Merzhin barzh
- Distro Merzhin
- Lez-Breizh – ar C’himiad
- Lez-Breizh – an Distro
- Lez-Breizh – Marc’heg ar roue
- Lez-Breizh – Morian ar roue
- Lez-Breizh – ar Roue
- Lez-Breizh – al Lean
- Droug-kinnig Nomenoiou
- Alan al Louarn
- Bran
- ar Falc’hon
- Loeiza hag Abalard
- an Distro eus a Vro-Saoz
- Gwreg ar C’hroazour
- an Eostig
- ar Plac’h dimezet gant Satan
- ar Breur mager
- Kloareg Rohan
- an Tri manac’h ruz
- Janedig-Flamm
- Stourm an Tregont
- an Erminig
- Baron Jaouioz
- Filhorez an Aotroù Gwesklen
- Gwaz aotroù Gwesklen
- an Alarc’h
- Seizenn eured
- Azenorig c’hlas
- Paotred Plouie
- Seziz Gwengamp
- Ened Rosporden
- Jenovefa Rustefan
- Itron Varia Folgoad
- ar Re Unanet
- Fontanella
- Pennhêrez Keroulaz
- Floc’h Loeiz trizek
- Markiz Gwerann
- Maronad an aotroù Névet
- Marv Pontkallek
- Emgann Sant Kast
- Yannig Skolan – ar Gwall-daol
- Yannig Skolan – Truez an ene
- Pardon Sant Fiakr
- Kanaouenn al levier
- Bleunioù mae
- Chants de fêtes et chants d’amour
- Légendes et chants religieux
Voici un extrait des commentaires que Théodore de La Villemarqué a insérés dans le Barzhaz Breizh :
« Louis, baron de Jauioz, en Languedoc, était fils de Randon Ier et de Flore de Caylus ; son nom appartient à l’histoire du quatorzième siècle et se lie souvent aux principaux évènements de la fin de cette grande époque. Nous le voyons sous les ordres du duc de Berry, son suzerain, combattre et chasser les Anglais de France (1378) ; nous le retrouvons sous les mêmes drapeaux en Flandre, triomphant des mêmes ennemis. Il prend part à toutes les victoires qu’y remporte le roi de France ; il est à Ypres, à Cassel, à Gravelines, au siège de Bourbourg. Quelques années plus tard, il fait son testament à Aigues-Mortes et s’embarque pour la Terre Sainte. Son sceau, en cire rouge, porte un écusson à trois pals et un chef chargé de trois hydres ; pour cimier, deux longues oreilles, et pour légende : S. LOYS DE JAUIOZ. S’il faut en croire les poètes populaires bretons, et si la tradition n’a point substitué un nom à un autre dans leur chanson, il aurait, pendant un voyage qu’il aurait fait dans sa vieillesse en Bretagne, acheté à prix d’or une jeune fille du pays qui serait morte de chagrin en France. Le Gonidec, dont la mémoire sera toujours chère aux amis de la langue bretonne, m’a procuré la meilleure version de la ballade où sont racontés les malheurs de cette jeune fille. »